Discussions entre les
économistes, Lucien Bouchard et Gaétan Barrette sur le trône au cabinet de
toilette au Ritz Carlton à Montréal de la lucidité
Lucien
Bouchard demande à Gaétan Barrette qu'est qu'il
doit faire pour supprimer le déficit du Québec
Gaétan
Barrette premièrement pour se mettre le peuple de
notre côté on doit démontrer que les fonctionnaires et syndiqués ont de très
bonnes conditions d'emplois et d’excellente
retraite. Notre message prouvera
hors de tout doute que le problème de la lucidité des Québecois commence par
amaigrir la fonction publique. Donc nous devons faire de la démagogie à ce
sujet au début et toujours à se tenir sur le point suivant, la sécurité d’emploi. Et à leur
retraite ils recevront environ 30,000 $ par année. Pensez-vous qu’ils pourront gérer ces hauts
salaires.
Lucien
Bouchard: Nous devons aussi mentionner que les
personnes âgées nous coûtent de plus chers, ils vivent trop longtemps. Les exterminés ne seraient bien vu dans la
population?
Nous devons y aller tout doucement, nous
devons leur demander s’ils veulent continuer à vivre à tout pris en étant
malades de toutes les sortes de maladies imaginables. Nos CHLSD ne peuvent fournir adéquatement les
services à cette population inactive et demandant des soins de plus en plus
coûteux à l’État. Nous devons trouver
quelques bons poisons montrant que le service est nauséabond et qu’il est
préférable qu’ils partent le plus tôt possible.
Leurs enfants ne veulent plus d’eux, la société en a eu assez de cette
génération qui nous demandait de toute leur donnée. Pour le bien de l’humanité ils devraient se
sacrifié et remettre toute leur argent à l’État providence.
Gaétan
Barrette: Nous avons seulement leur apporter un peu
d'aide pour mourir plus vite, l'autorisation d’avoir l’euthanasie.
Lucien
Bouchard : Encore là vous verrez quelques
médecins nous dirent que la vie est extraordinaire et qu’ils doivent la
prolongée à tout prix. Et la religion dans ça mélange tout, l’être humain et
Dieu. Nous sommes l’instrument de Dieu sur
terre, nous éliminerons les personnes âgées le plus tôt possible car nous
aiderons à main de Dieu à les recevoir dans son paradis.
Gaétan
Barrette : As-tu du papier de toilette de ton
côté?
Lucien
Bouchard à Gaétan Barrette : Un employé
syndiqué viendra dans notre salle et on lui en demandera.
Lucien
Bouchard: C'est une excellente idée, le peuple sera
lui-même responsable de sa décision et nous ne serons pas désignés du
doigt. Mais nous n’allons pas très loin
avec ça, où trouver de l'argent?
Gaétan
Barrette: C'est d'une simplicité totale.
Nous créons des comités ministériels et
interministériels pour connaître la façon d'augmenter les taxes et impôts, en
créant de nouveaux services pour pouvoir augmenter nos revenus. Par après avoir créer une demande
supplémentaire, les revenues taxables et nous devons faire des déficits à
nouveau. La roue doit tourner
Lucien. A la réception des conclusions
de nos amis que nous avons mis sur les comités nous mettrons tous les rapports
sur les tablettes. L’opposition
demandera de nouveau des comités et nous leur diront qu’ils devront attendre à
la prochaine session.
Lucien
Bouchard: Tout ça c'est bien beau, mais on a rien
résolu, nos revenus n'augmenterons pas assez vite.
Gaétan
Barrette: Créons encore plus demande et
emprunterons l'argent. Par après nous
pourrons dire que c'est la faute du peuple si tout va mal. Donc renouvelons les conventions collectives
et mettons le peuple de notre côté. Notre gouvernement doit rencontrer les
investisseurs américains et devons garder notre côte de crédit. ¨Ca va faire mal, le mur s’approche de plus
en plus vers les contribuables. Ils
doivent se serrer la ceinture et admettre que leur État est là pour leur
soutirer le maximum d’argent.
Lucien
Bouchard: Gaétan, vous n'avez pas peur que la
population et les syndicats de nous couper, nous les élus et élites avec nos primes de départs, salaires, etc.
Gaétan Barrette: Lucien, on ne peut nous
couper nous même? On a desoin de tous
les sous que nous avons chèrement gagnés à la sueur de nos fronts. Nous avons donnés notre vie au peuple.
Lucien
Bouchard: Nos besoins sont très grands et nous
devons continuer à éduquer ce petit peuple.
Gaétan
Barrette: Couper le petit peuple sera facile, car
ils ont l'habitude de se faire couper.
Lucien
Bouchard: Nous avons oubliés tous ces maudits
médias qui veulent tout savoir sur nous et nos avoir. Gaétan, comme tu sais à notre niveau de
décideur nous avons de besoins d’au moins un revenu net de 600 ou 700 mille
dollar par année. Mon épouse me disait
dernièrement qu’elle ne peut plus rejoindre les deux bouts car l’épicerie est
trop chère
La SAQ taxe de plus en plus le Champagne,
le câble n’arrête pas d’augmenter, et de dire internet. Stephen Harper nous interdit la consommation
de caviar Russe. On se sait plus ou se jeter la tête avec nos petits
revenus. Chaque fois que notre ami
commun nous demande d’aller sur le Touch,
Tony Accurso nous reçoit comme des
millionnaires.
Gaétan
Barrette : On est millionnaire.
Lucien
Bouchard : Il faut bien faire un petit cadeau
à Tony pour lui montrer notre amour pour lui et notre solidarité totale envers
son gouvernement. Il reçoit plusieurs
amis politiques, techniciens, gens d’affaire, nous devons faire bonne figure. Même Tony, ce véreux invente les chefs
syndicaux sur son vaisseau à passée des semaines de vacances. Il connaît tout du système financier. Nous avons beaucoup à apprendre de lui et
nous devons lui retourner l’ascenseur lorsqu’il le demande. Un
chum c’est un chum.
Gaétan
Barrette : Tu peux bien le dire Lucien, les
enveloppes coûtes de plus en plus chers, et grugent mon revenu de retraite.
Lucien
Bouchard : Je ne veux pas me retrouver sur le
bien être sociale et ne plus pouvoir écraser le contribuable fiable.
Nous garderons tous nos acquis comme élus,
mon niveau de vie n'est pas touchable.
Nous sommes tous des intouchables
Gaétan. Nous ne devons pas leur
donner plus d'os à cette petite population car ils en voudront plus subvenir à
grand besoin. La meilleur façon de faire
est de les couper et parlons maintenant des salaires des sportifs.
Gaétan
Barrette : Notre syndiqué n’est pas encore
revenu pour nous donner du papier toilette car j’ai fini. Mon trône royale est remplie jusqu’au
bord. Quoi faire Lucien?
Lucien
Bouchard : Nous sortirons comme ça car nous
avons l’habitude de se faire torcher par la population.
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