vendredi 31 juillet 2015
jeudi 30 juillet 2015
dimanche 26 juillet 2015
lundi 20 juillet 2015
dimanche 19 juillet 2015
Gabriel Nadeau Dubeau Critique Non - Classe NON - FAR WEB - Acquitté Outrage au Tribunal 21-01-2015 Justice Québec NON
Gabriel
Nadeau Dubois acquittée d’outrage au tribunal
La Cour d'appel acquitte l'ex-leader étudiant Gabriel
Nadeau-Dubois de l'accusation d'outrage au tribunal en lien avec le conflit
étudiant du printemps 2012.
Gabriel Nadeau-Dubois
avait été reconnu coupable par la Cour supérieure en novembre 2012 pour
des propos qu'il avait tenus lors d'une entrevue sur les ondes du Réseau
de l'information (RDI) alors qu'il était porte-parole de la Coalition large
pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE).
Selon un étudiant de l'Université Laval, Jean-François Morasse, le leader avait
incité les étudiants à continuer de bloquer l'accès aux cours, malgré une
ordonnance de la cour. Quelques jours plus tôt, Jean-François Morasse avait obtenu une injonction pour continuer à
suivre sa formation en dépit de la grève étudiante.
L'avocat de Gabriel
Nadeau-Dubois a plaidé devant la Cour
d'appel que rien ne prouvait que son client connaisse l'existence de cette
injonction. Les trois juges de la Cour d'appel lui donnent raison.
« La connaissance de l'appelant, au moment où il
répond, le 13 mai 2012, à la journaliste du Réseau RDI, de
l'existence de l'Ordonnance et de sa teneur ou de sa portée n'a pas été
démontrée et, encore moins, prouvée hors de tout doute raisonnable. En
l'absence de connaissance spécifique de l'Ordonnance, on ne peut conclure à la
contravention de l'ordonnance judiciaire », conclut la Cour d'appel.
Le jugement souligne également que l'injonction
« n'empêchait pas directement le piquetage : elle empêchait les
mesures d'obstruction, ce que peut devenir un piquetage excessif ».
Gabriel Nadeau-Dubois s'est dit très soulagé par la
décision. « Il y a un immense poids qui vient de s'enlever de sur mes
épaules. Outrage au tribunal, c'est une accusation grave, c'est une accusation
importante, et j'ai toujours été très conscient de la gravité et de
l'importance de la situation. » Il avait été condamné à
120 heures de travaux communautaires par la Cour supérieure.
En Cour suprême?
Déçu du jugement, l'avocat de Jean-François
Morasse envisage maintenant de s'adresser à la Cour suprême. « Je ne
vous cacherai pas qu'on va songer très sérieusement à la possibilité de
s'adresser à la Cour suprême. [...] Je pense qu'elle [la Cour d'appel] a exercé
son droit de regard sur la décision avec une intensité un peu trop forte à ce
qu'elle devait. Je pense qu'elle aurait dû respecter la décision de fait rendue
par le juge d'instance », soutient Me Maxim Roy.
L'avocat relira le jugement et rencontrera son client la
semaine prochaine avant de prendre décision
http://ici.radio-canada.ca/regions/quebec/2015/01/21/010-nadeau-dubois-acquitte-cour-dappel.shtml
samedi 18 juillet 2015
mardi 14 juillet 2015
Adil Charkaoui et Abousfian Abdelrazik attentat explosion avion Air France Montréal-Paris été 2000- SCRS Quand sa déportation?
Adil Charkaoui et Abousfian
Abdelrazik complot explosion avion Air France
Selon la Charte des droits et libertés du Québec, le
gouvernement aurait du faire un accommodement raisonnable en leur fournissant
tous les engins explosifs, selon le prophète, c’est une décision personnelle et
rationnelle selon nos ministres Québécois.
Quand la déportation de ces criminels qui jouissent des faveurs des
Canadiens sans aucune impunité. Lors de
leurs déportations pouvez-vous envoyer en même temps quelques ministres du
Québec en Arabie Saoudite ?
Le plan: faire sauter un avion à l'aide d'un porte-clés
bourré d'explosifs. La cible un vol d'Air France ou de toute autre compagnie
aérienne desservant l'Hexagone, en partance de Montréal.
Connus pour leur combat contre le gouvernement canadien qui
les avait traités en terroristes, Adil Charkaoui et Abousfian Abdelrazik
auraient comploté pour faire exploser un avion en plein vol entre Montréal et
la France, selon une conversation cryptée que le Service canadien du
renseignement de sécurité (SCRS) aurait interceptée à l'été 2000.
Adil Charkaoui et les avocats d'Abousfian Abdelrazik nient
catégoriquement cette information, contenue dans un document classé «secret»
que La Presse a obtenu. Les avocats d'Abdelrazik estiment que le document tombe
à un moment critique de ses démarches en vue de faire retirer son nom de la
liste des individus associés à Al-Qaïda établie par le Conseil de sécurité des
Nations unies. «Le fait que cette information fasse surface maintenant est très
suspect. On dirait qu'on essaie de saboter le retrait de son nom de la liste»,
s'indigne Me Paul Champ. Son client, qui a été retenu au Soudan pendant six
ans, dont plusieurs années en prison, poursuit le Canada pour 27 millions de
dollars.
Adil Charkaoui, qui réclame pour sa part 25 millions à
Ottawa, estime que le Canada se livre à une campagne de diffamation en
divulguant des rapports secrets. «C'est vraiment n'importe quoi, je suis
vraiment stupéfait.» Son avocate, Me Johanne Doyon, souligne que deux jugements
rendus en 2009 par la Cour fédérale ont indiqué que les preuves présentées à ce
jour ne démontraient pas la crainte qu'Adil Charkaoui commette un acte
criminel.
Selon les extraits de la conversation cités dans le
document, Adil Charkaoui et Abousfian Abdelrazik auraient discuté à
l'été 2000 d'un plan pour attaquer un vol à destination de la France en
partance de Montréal. «Nous pourrions tous nous enregistrer le même jour et
chaque personne embarquerait séparément. Il y en aurait deux en avant, deux au
[inaudible] et deux derrière. Six en tout», aurait exposé Charkaoui.
Lorsque Abdelrazik juge le projet «dangereux», Charkaoui
répond avoir pensé à quelque chose de «plus simple» utiliser un explosif
dissimulé dans un porte-clés. «C'est quelque chose de très pur, à 100%. Lance
ça dans l'avion et tout l'avion saute», aurait alors dit Charkaoui à
Abdelrazik.
Le document précise que «le contexte et le contenu de cette
conversation donnent l'impression que Charkaoui et Abdelrazik planifiaient
attaquer un avion».
La note de quatre pages, rédigée en juillet 2004, visait
avant tout à informer Transports Canada de la libération imminente d'Abousfian
Abdelrazik, arrêté en 2003 par les autorités soudanaises. La Presse a pu
établir que trois des quatre destinataires du document étaient responsables de
la sécurité ou du renseignement à Transports Canada. Le quatrième n'a toutefois
pu être identifié.
Il a été impossible de faire authentifier le document par le
SCRS, qui a toutefois demandé, pour des raisons de sécurité, que les noms de
ses employés qui s'y trouvent soient gardés secrets. Un ancien cadre du Service
a quant à lui confirmé à La Presse que le signataire de la lettre était bel et
bien responsable de la lutte contre le terrorisme à l'été 2004.
Charkaoui, qui assure qu'Abdelrazik n'est qu'une simple
connaissance, s'est dit étonné qu'il existe une transcription de la
conversation que le SCRS aurait interceptée. À son procès, le SCRS a toujours
refusé de lui en remettre une copie au motif que l'enregistrement avait été
détruit et qu'il n'en existait aucune transcription.
Traces d'explosifs
Le document obtenu par La Presse contient plusieurs
renseignements potentiellement compromettants pour Abousfian Abdelrazik, né au
Soudan en 1962 et arrivé au Canada en novembre 1990. Le SCRS dit avoir
découvert dans son véhicule, lors d'une fouille en octobre 2001, des traces de
RDX, produit qui entre dans la composition de plusieurs explosifs de type
militaire. L'origine de la substance n'a jamais été déterminée.
Pourquoi ne pas l'avoir traduit en justice, alors? «Si tu
amènes cette preuve en cour, la question qui se pose, c'est "Comment tu as
obtenu ça?" De toute évidence, quelqu'un est entré dans sa voiture. Est-ce
qu'il avait un mandat de perquisition?» dit Michel Juneau Katsuya, ancien agent
de renseignement du SCRS. C'est toute la différence entre les services secrets
et la police, illustre l'ex-officier, les premiers n'ayant pas le fardeau de
présenter leur preuve en cour.
Le SCRS dit avoir le Soudanais d'origine dans sa ligne de
mire depuis 1996, en raison de ses liens avec des «extrémistes sunnites
d'Afrique du Nord». Parmi ses contacts jugés suspects dans le document figurent
entre autres Adil Charkaoui, emprisonné à l'époque en vertu d'un certificat de
sécurité, et Fateh Kamel, lui aussi emprisonné à ce moment en France pour son
rôle comme chef d'un trafic de faux papiers pour terroristes.
L'enquête du SCRS indique qu'Abdelrazik se serait entraîné
en 1997 à un camp d'Al-Qaïda appelé Khalden. Celui que plusieurs surnomment «le
Soudanais» aurait aidé d'autres terroristes en devenir à s'y rendre. Parmi
ceux-ci figure Ahmed Ressam, qui a été arrêté en 1999 à la frontière
canado-américaine alors qu'il s'apprêtait à perpétrer un attentat à l'aéroport
international de Los Angeles. «Abdelrazik a fourni le numéro de téléphone au
Pakistan du lieutenant d'Al-Qaïda, Abou Zubeida!», peut-on lire. Lors du procès
de Ressam, le Soudanais a simplement dit l'avoir côtoyé à Montréal.
Le SCRS dit ensuite avoir découvert qu'Abdelrazik se serait
rendu en Tchétchénie, de l'automne 1999 à l'été 2000, pour participer au
djihad contre l'armée russe. «Abdelrazik a souvent exprimé le désir de mourir
en martyr», poursuit le document.
À son retour à Montréal, le Soudanais aurait reçu la visite
de deux Tunisiens naturalisés canadiens, Abderraouf Jdey et Faker Boussora. Or,
les deux sont activement recherchés par le FBI depuis le 11 septembre 2001, une
récompense de 5 millions étant offerte pour toute information menant à la
capture de l'un ou l'autre. Jdey avait été pressenti pour participer aux
attaques du World Trade Center, selon le rapport de la commission d'enquête
américaine sur les attentats.
Le SCRS dit avoir été informé dès le 10 septembre 2003
qu'Abdelrazik avait été arrêté par les autorités soudanaises et incarcéré à
Khartoum. Ce n'est pourtant qu'en 2008 que le cas de l'homme a été rendu public
après qu'il se fut réfugié à l'ambassade du Canada au Soudan, où il a été
retenu pendant un an. La Cour fédérale a finalement forcé Ottawa à rapatrier
l'homme à l'été 2009, estimant que ses droits avaient été bafoués.
À entendre le parcours d'Abdelrazik, Michel Juneau Katsuya
dit comprendre pourquoi le Soudanais est resté dans le collimateur des services
de renseignement. «On ne l'a jamais attrapé avec un fusil dans la main, un
cadavre à ses pieds, illustre-t-il. Mais le fait qu'une personne réapparaisse
constamment sur le radar, ça justifie qu'on poursuive l'enquête. Ce n'est pas
juste un voisin qui l'a dénoncé pour se venger après une chicane de clôture. Ce
sont plusieurs événements successifs.»
Les États-Unis ont longtemps réclamé au Canada des
renseignements sur Abdelrazik afin de l'accuser, ce que le Canada a toujours
refusé. Le document obtenu par La Presse porte d'ailleurs la mention «Secret
Canadian eyes only».
http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201108/04/01-4423588-une-conversation-compromettante-entre-charkaoui-et-abdelrazik.php
dimanche 12 juillet 2015
lundi 6 juillet 2015
samedi 4 juillet 2015
mercredi 1 juillet 2015
Serge Quesnel délateur des Hells Angels et tueurs à gages
Serge Quesnel tueur à gages canadien
Il nous coûte très chers à tous en prison
Serge Quesnel s’ennuie en prison, auteur de
douze meurtres, membre en règle d’un gang de criminel des Hells Angels. Il profite des services que la population en
générale ne peut se permettre. Bienvenue
dans les prisons Canadiennes, les Club Med de haute gamme hébergeant une faune
de criminels.
Au Canada, plusieurs de ses membres sont
des criminels condamnés pour meurtre ou trafic de produits stupéfiants, entre
autres. Le président actuel du chapitre québécois, les Nomads, groupe de
motards, c’est Maurice Mom Boucher, incarcéré à la prison de Bordeaux à
Montréal avec son fils Francis Boucher.
Francis Boucher a été libéré par erreur de
la prison de Bordeaux en se faisant passer pour un autre Francis Boucher, un
non-criminel qui devait être relâche la même journée. La prison avait oublié de vérifier l’identité
du Francis Boucher qui devait sortir.
Francis Boucher s’est rendu aux policiers affirmant que c’était pour
faire une sortie humanitaire.
Cours privés et sorties pour l’ex-tueur des
Hells Angels
Le délateur Serge Quesnel réclame quand
même 200 000 $ pour isolement en détention
Serge Quesnel, l’ex-tueur à gages des Hells
Angels devenu l’un des délateurs les mieux rémunérés du Québec, s’est fait
payer des séances de zoothérapie privées en prison chaque semaine, pendant un
an et demi.
Quelques criminels qu’il a tué
Richard Jobin le 09 septembre 1993 à
Sainte-Foy
Martin Naud le 20 octobre 1993 à Sainte-Foy
Jacques Ferland le 29 janvier 1995 à
Grondines
Claude «Le Pic» Ricard le 03 février 1995
Pointe-aux-Trembles (Montréal)
Richard Delcourt tué le 03 1995 à
Saint-Casimir
La seule chose que nous pouvons, il nous débarrasse
de la racaille qui me couterait plusieurs dizaines de millions à garder en
prison.
C’est un des «nombreux services» qu'il a
été le seul prisonnier québécois à recevoir pour favoriser sa réhabilitation,
selon des documents judiciaires dont Le Journal a obtenu copie.
Mais le témoin repenti de 45 ans est loin
d’être satisfait. Il réclame 200 000 $ en dommages au ministère de la Sécurité
publique pour ses conditions de détention, qu’il juge «inadéquates». La date du
procès devrait être déterminée en septembre, à Montréal.
Zoothérapie, bouddhisme, cours particuliers
Au nom du gouvernement, le Procureur
général du Québec se défend en affirmant qu’«un nombre important de programmes»
ont été mis en place pour Quesnel, condamné en 1995 pour cinq meurtres.
Du printemps 2011 à l’automne 2012, le
délateur a notamment été «le seul détenu» d’une prison provinciale à profiter
d’un programme de zoothérapie «de manière individuelle». Une fois par semaine,
une thérapeute le visitait à la prison de Saint-Jérôme avec des chats ou des
chiens, durant une heure et demie.
L’ex-tueur des Hells a également bénéficié
de 52 «sorties spirituelles dans un centre bouddhiste», de trois heures
chacune, entre 2009 et 2011.
Il a aussi reçu 120 heures de cours
d’anglais particuliers avec un professeur du cégep de l’Outaouais à la prison
de Hull pour «préparer son retour dans la communauté».
Isolé et dépressif
Une porte-parole du procureur général,
Sylvie Leclerc, a dit au Journal que la facture en deniers publics
sera précisée devant le tribunal «au moment opportun».
Serge Quesnel a déjà eu gain de cause
contre l’État, en 2009, pour non-respect de son contrat. La Cour supérieure a
condamné le gouvernement à lui verser 80 000 $ en compensation pour son
isolement «quasi total» en détention et le manque de programmes de réinsertion
sociale qui s’offraient à lui.
Cette fois, le délateur attribue son «état
dépressif» à l’État, qui l’aurait maintenu en isolement et «indûment privé de
sorties et de programmes qui auraient pu l’aider à obtenir sa libération
conditionnelle plus rapidement».
♦ Quesnel a été transféré en maison de
transition en novembre 2012 après avoir obtenu sa semi-liberté, mais il attend
toujours sa libération conditionnelle totale, à laquelle il est admissible
depuis 2007.
Qui est Serge Quesnel?
♦ Détenu au pénitencier de Donnacona, il
est recruté comme tueur à gages par les motards Hells Angels qui le paieront
entre 10 000 $ et 25 000 $ pour chaque contrat.
♦ Il commet cinq meurtres entre
l’hiver 1993 et le printemps 1995 dans les régions de Montréal, de Québec et de
Portneuf, en plus de comploter pour en commettre 13 autres au début de la
guerre des motards.
♦ La Sûreté du Québec l’arrête le 1er
avril 1995 quand un de ses complices, Michel «Pit» Caron, devenu délateur,
l’incrimine dans deux contrats de meurtre.
♦ Il passe aux aveux, mais réclame 1
million $ et l’immunité totale pour ses crimes en échange de ses témoignages
contre ses ex-employeurs, ce qu’on lui refuse. Toutefois, il devient le
délateur le mieux payé de l’histoire du Québec avec une allocation non
imposable de 500 $ par semaine pendant 15 ans, pour un total de 390 000 $.
L’État s’engage aussi à effacer les tatouages qu’il arbore, dont une larme
qu’il s’était fait tatouer sur le bord d’un œil.
♦ Ses conditions de détention au
quartier général de la SQ à Québec font scandale, alors qu’il a droit à des
cigares à 50 $, à des repas onéreux et à de nombreuses visites en privé de son
ex-amie de cœur danseuse.
♦ La même année, il est condamné à
l’incarcération à perpétuité, mais il sera admissible à une libération
conditionnelle après avoir purgé 12 ans d’incarcération.
♦ Il a obtenu son baccalauréat en
administration en prison.
♦ Il a été l'un des derniers
délateurs québécois à avoir le droit de publier ses mémoires dans le
livre Testament d'un tueur des Hells, en 2002.
Des avantages uniques en détention
Source: Documents judiciaires déposés par
le Procureur général du Québec
♦ Programme de zoothérapie
individuelle en prison en 2010 et 2011.
♦ 52 permissions de sorties dans un
centre bouddhiste de 2009 à 2011.
♦ Des manuels d’apprentissage de la
langue espagnole lui ont aussi été fournis à sa demande.
♦ Il a été le seul prisonnier du
réseau carcéral québécois à pouvoir sortir de prison pour suivre des cours
universitaires, soit un cours de philosophie à l’Université d’Ottawa, ainsi que
le cours intitulé «Éloge de la spiritualité dans le monde contemporain», à
l’Université Saint-Paul, tous deux à l’été 2009.
♦ 120 heures de cours particuliers
d’anglais de niveau collégial.
♦ Sortie de sept heures pour assister
à une conférence universitaire sur le symbolisme en mai 2009.
♦ Neuf sorties de sept heures chacune
pour suivre un cours d’éducation religieuse en juillet 2009.
♦ Afin de favoriser ses contacts
sociaux, il a eu droit à des visites qui avaient lieu dans un local fermé et
sans la supervision d’un agent. Contrairement aux autres personnes incarcérées,
il n’était pas soumis à un horaire de visite fixe et la durée de ces rencontres
était allongée. Il a reçu de nombreuses visites durant ses séjours aux prisons
de Hull et de Saint-Jérôme.
♦ Il a vu un psychologue une heure par
semaine durant quatre ans pour l’aider à gérer son anxiété, en plus de
participer à des thérapies pour contrer des problématiques de violence et de
toxicomanie.
♦ Accès privé au gymnase deux à trois
fois par semaine.
http://www.journaldemontreal.com/2015/06/29/cours-prives-et-sorties-pour-lex-tueur-des-hells